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Douggie's creek on the blog
10 mars 2005

Ce matin , alors que j'avais prévu de dormir

Ce matin , alors que j'avais prévu de dormir jusqu'à 9h30 (vu que j'n'avais cours qu'à 10h15), la sonnette de mon portable retentit à 8h... La mère de mon élève la plus "ininteressante" me fait l'honneur de son appel. "Je ne vous reveilles pas?"... "NON!!!!! Du tout; vous pensez bien!" "Aujourd'hui, pourrait-on mettre le cours à 14h?" "Oui bien entendu..." "... au fait ça sera le dernier, j'inscris ma fille à Académia (boite à "Bac" et "BEPC"), je te laisse (car elle me tutoie) le chèque sur la table. Bien entendu je te recontacterai vers septembre pour reprendre avec C." "D'accord, pas de problèmes. Au revoir". Et je retournais de suite dans les bras de Morflée... A 9h15... la sonnette de l'interphone... "BBBZZZZZZZZZZZZZUUUUUUU". Sûrement le facteur me dis-je. Que nenni. Juste mon proprio. Il avait récuperer un colis hier quand je n'étais pas là. Le postier lui avait donner sans rechigner (scandale La Poste!!!). A l'interphone je le sentais tout guilleret près ) me parler pendant des heures comme à son habitude. Je décidais donc de couper court à la discussion en lui disant de me le monter (NDLA: j'suis au 4ème) et en choissisant la tactique dîtes de "l'endormi". Les cheveux en bataille, en pyjama. J'ouvrais ma porte, les yeux mi-clos (ou mi-ouvert c'est selon), et le remerciais une dernière fois en prenant le paquet que le bougre me tendait. Il me dit qu'il allait me laisser voyant que je n'étais pas très réveillé... C'est c'la oui! On va faire comme ça. Et hop mon stratagème avait marché! Fier, Fier le Doudou!!! Je refermais ma porte triomphant et retournant dans mon lit. Dix minutes plus tard je décidais de me lever, énervé par le bruit du marteau piqueur dehors... Devant mon café à la BU, je me remémorais la discussion téléphonique. J'étais content de ne plus l'avoir cette fille car elle n'était pas très ouverte. Une pseudo gothique (14 ans) aux tendances anarchique, ne voulant pas faire d'effort, nulle et par dessus tout, pas très belle. <:o)
Je lui donnais donc une dernière fois cours, récupérais l'enveloppe où se trouvait mon chèque et un petit mot dedans... "merci... machin truc bidule chouette, à en septembre, je te tiens au courrant, prout caca boudin..." Là où j'suis blazé c'est qu'elle habitait à côté de la Fac, ça m'était bien pratique... et surtout ça me faisait une petite rente bien appréciable et appréciée... M'enfin c'est la vie :p

 

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